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Dans les années 70, une grande quantité d’experts et de rationnels tirent la chanson d’alarme à propos de l’impact de l’activité des sculpteurs sur la planète. Depuis la génération industrielle, notre équipe a gouter un développement inouï, cependant sans vraiment en vérifier les problèmes de l’évolution de son mode de vie. Mais par quel motif assurer demain l’accession à l’alimentation et à l’eau potable, à la forme et à l’éducation pour tous ? Comment assurer la protection de la biodiversité et combattre le changement climatique ?Ce concept dégage de multiples problématiques dans tous les aspects qui touchent à l’interaction des pme de l’homme dans leur home sweet home : extension humain, environnement et dangers, économie, communs et affinité pour reprendre les thèmes abordés par Anne-Marie Sacquet dans son Atlas mondial du expansion durable. Le extension durable est une autre voie inéluctable à notre mode de extension actuel qui épuise les protection de l’environnement, creuse les errements de richesse et ampute l’avenir de génération actuelles et prochaines.La tendance dite d’habilitation sert à à bagarrer le assise incorruptible des sociétés traditionnelles de temps à autre millénaires sous prétexte d’indépendance. dès lors ce séquelle aujourd’hui pronom conjonctif, il est remplacé par un dossier individuel ou collectif en toute simplicité consensuel et bardé par la justice et maison poulaga. Mais quid de leur émancipation des individus, entreprises, collectivités et multitude ne qui peuvent se résigner en autonomies et pour lesquels le seul liaison proposé avec la entreprise est un contrat d’usure ? Ai-je le choix d’épargner dans une banque qui ne me demanderait que des frais bancaires sans transférer mes économies à intérêt ? Puis-je me loger, comprendre, bosser sans gagner des intérêts ? Le assiette d’une morale à notre service serait l’interdiction au lieu de l’obligation de l’usure en vue d’une économie qui nous permette de s’avérer être en synchronisme avec la nature dont nous dépendons. malgré le danger d’être un frein à un « accord pérenne », les Nations Unies ont pour obligation de tirer au clair leurs révélations car pour les tenants d’une économie basée sur le prêt à intérêt, « développement durable » se traduit par « croissance pérenne » vu que l’illustre le briefing de Jacques Attali, conseillé d’Etat : «… La fonction de l’homme dans le monde est de fournir des richesses… Transformer la Nature c’est bien, la Nature n’est pas bonne en soi. Plus encore, la Nature est l’ennemie de l’Homme. quand on admet que la richesse c’est bien et que la méchanceté c’est pas bien, on déteste les forêts et on adore les jardins, on déteste la campagne et on adore la commune, on apprécie ce que l’Homme fait et pas ce que la nature lui donne. Et la second chose qui est très poche dans cette conception est le rapport aux années qui défilent qui change énormément : si on admet que le abasourdissement est la richesse de ce fait il faut qu’à tout prix que tout soit répétitif puisqu’il ne faut pas économiser d’argent. dans le cas où, au contraire, on admet que l’abondance n’est pas un dysfonctionnement par contre qu’il faut l’assumer alors la séance est un allié et non plus un ennemi. Le temps n’est plus périodique il avance et l’Homme demeure l’histoire du temps et utilise le temps comme une richesse. Dans le 1er cas le temps surtout ne doit rien valoir qu’il ne faut pas que le temps soit appréciable, en minutieux pas d’intérêt. Alors que dans le dernier cas la séance a de la valeur puisqu’il est le forme sur lequel s’inscrit la réparation du monde imparfait que Dieu nous a laissé et à ce moment l’intérêt à un sens »[6]. si la morale prescrite par les grandes usine trans continentales était proprement débattue, il serait prospective qu’un tel oraison soit minorité et que la préservation de l’équilibre d’une nature que nous aimons et dont nous dépendons fasse l’unanimité. Cela parce que l’usure est condamné par certains agronomie et interdite par les credo. On peut parler Aristote : ‘ l’utilité est des fonts issu d’argent, et c’est de toutes les acquisitions celle qui est la plus contraire à la nature ‘ [7], ou bien l’interdiction de l’usure dans les clairs civils de l’Ancien Régime, par les credo asiatiques et les contenus fondateurs des trois monothéismes.La gestion durable des déchets peut être déclinée en plusieurs partie, communément de plus en plus vertueuses ( au rythme de l’avancée ), mais avec seulement des impossibilité ou fausses vertus qui amènent à recommander une grand modération dans les choix d’actions généralisées et dans les actions d’information du public. Tout exactement, il convien‑ dra d’éviter les choix d’extension géographique ou la généralisation psychologique seine et sim‑ ple d’options qui paraissent idéales.Toute politique de développe‑ ment durable, agenda‑21, etc., devra tenir compte le besoin d’évacuer les déchets, à l’égal de la nécessité d’eau consommable ou sur votre consommation de chauffage. Les trouble qui seraient amenées à la sérénité de ce besoin par des règles complémentaires ( Cf. phases suivantes ) devront, sous inconvénient d’échec, être acceptées par la population, et donc rester com‑ patibles avec la satisfaction de ses besoins de base.Les grands enjeux ( transports, énergie, climat, habitat, civilisation, entreprise, inégalités ) font de temps à autre le support d’objectifs chiffrés, à l’instar des engagements pris sur le plan réduction des émissions de gaz prétentieux de serre dans le cadre du protocole de Kyoto. La consigne du 13 octobre 2003 organisant un système d’échange de fortuit d’émission de gaz prétentieux de serre dans la Communauté prévoyait que les États membres établissent un Plan National d’Allocation des Quotas d’émission de gaz à effet de serre ( PNAQ ) et que certains d’activité de la création d’énergie et de l’industrie manufacturière soient placés à un transaction d’échange de honnêtes d’émission de CO2 ( accord photocopie ).